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"Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu !" : tournage à la Clinique Les Martinets

le 12/03/2019

Silence, on tourne ! Action ! Faux patient, fausses pancartes, fausse armoire mais vraie clinique servent la nouvelle comédie de Philippe de Chauveron sortie le 30 janvier dernier dans toutes les salles. En coulisses.

La responsable administrative et logistique de la clinique, conserve un souvenir amusé de ce tournage ayant rencontré un grand succès au Box-Office avec 4 656 203 entrées vingt jours après sa sortie. Pour cette suite de "Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu" succès cinématographique de l’année 2014, l’équipe de tournage a investi une salle de la Clinique Les Martinets à Rueil-Malmaison. "Cherchant un lieu de tournage à Rueil, elle nous a logiquement contactés pour connaitre les disponibilités de nos salles potentiellement à louer. Par chance, l’étage du service de maternité, transféré, était vide à l’époque et un tournage de film ne pouvait, par conséquent, n’avoir aucune incidence sur notre activité. Une vraie opportunité lorsqu’on voit la quantité de matériels et de personnel que nécessite une scène de courte durée ! Trois jours d’installation, une journée de tournage et une journée pour tout ôter" précise-t-elle anecdotiquement, se faisant accessoiriste à la recherche de lit et instruments médicaux pour l’occasion. 

Synopsis

Pour ceux qui n’auraient pas encore visionné le film, le destin scellé par l’union de deux protagonistes, Charles (Noom Diawara) et Laure (Elodie Fontan) des familles respectives Koffi (Slamate Kamate et Pascal Nzonzi) et Verneuil (Chantal Lauby et Christian Clavier), donnent lieu à beaucoup d’émotions cumulées à celles engendrées par des unions œcuménistes. Et parce que nous aurons la décence de ne pas tout vous raconter, sachez seulement qu’André Koffi, père de Charles, sous la pression de nouvelles contrariantes (eu égard à ses valeurs) se retrouve hospitalisé fictivement à Rueil dans ce service alors vacant mis en scène.  

Quels bénéfices pour la clinique ?

"Nous n’avons pas établi de contrat financier sur les bases d’une location mais avons négocié des places en avant-première, tirées au sort pour le personnel ainsi que des places pour deux pour d’autres séances. De surcroit le nom de la Clinique Les Martinets est mentionné dans le générique, histoire de laisser notre empreinte. Tout s’est très bien passé et nous avons eu plaisir à accueillir comédiens et équipes techniques qui ont fait, quant à eux, preuve d’un grand respect des lieux et de beaucoup de sympathie" conclut-elle